• • • Une petite dose de caractère

Le plus simple est de commencer par mon côté prédominant à savoir mon côté charmeur et Don Juan. C’est la première chose que l’on peut remarquer chez moi car je drague comme je respire par des sourires ou tout simplement par un regard intense. Ma manière de parler les fait frémir et en étant parfaitement conscient, je n’hésite pas à en jouer pour obtenir leurs faveurs. Cependant, je garde quelques principes, je ne laisse jamais de faux espoirs. Doté d’une franchise à toute épreuve, je ne sais dire que la vérité et surtout, connaissant mon impulsivité, je ne sais me retenir. Si je la trouve belle, je le lui dirais, sexy aussi et quoique je puisse en penser elle le saura. Certaines le prennent pour des phrases toutes faites, ce que tu dis à n’importe quoi. Je ne me sers que de la vérité pour draguer et obtenir le sourire lumineux d’une femme. Je ne couche cependant pas avec n’importe qui. On ne peut éprouver du désir pour tout le monde et ainsi, il me faut quelque chose de plus qu’un beau minois et de long cils. Au départ, la soirée ne débute pas forcément au lit juste après une rencontre même jamais à moins que l’on ne soit totalement saoul ce qui peut arriver. Il faut qu’elle soit intéressante qu’elle ait une certaines conversations. Aucune femme ne m’a jamais intrigué mais intéressé c’est primordiale pour que je puisse avoir envie de passer la nuit avec elle. Je pense en avoir fait le tour, ensuite, vous en apprendrez certainement plus quand vous me connaîtrez.

Ensuite, j’ai un côté très fier et sûr de lui. J’ai confiance en moi et je ne doute pas de mes capacités. Je sais contrôler mes émotions, de peur de me faire envahir, et n’ait jamais eu de problèmes pour me détacher parfaitement des gens. Il est tellement plus simple de vivre un peu solitaire et loin que de souffrir d’un abandon ou d’une trahison. Très fier, je ne supporte pas l’échec, et je suis fonceur même si c’est une cause désespérée. Je peux foncer dans la gueule du loup simplement par fierté. Et que ce soit dans la danse, dans une battle ou encore pour conquérir une femme, je ne suis pas du genre à abandonner. Jamais.

Que dire de plus dans ma personnalité… Je suis dur et de glace. J’imagine que vous l’aviez deviné. Je n’ai pas forcément de conscience si je blesse quelque un qui pour moi l’a mérité, je ne vais pas m’en vouloir bien au contraire, j’aurais tendance à fêter la chose. Même si je suis nerveux, je ne le montrerais pas. Je suis rancunier parfois, oublie difficilement ce qu’on me fait et je pardonne très difficilement une trahison. A tendance méfiante, je ne fais pas confiance facilement . Et un côté positif que je peux dévoiler, je suis un ami fidèle à défaut de l’être en amour. Du moins, je ne sais pas si je le resterais. Bien que je puisse tombé très amoureux. Et bien qu’Emily soit peut-être celle qui me fera flancher définitivement. Je n’abandonne pas mes proches et on sait qu’on peut compter sur moi quoiqu’il arrive. Mais ce côté s'est renforcé avec sa perte et désormais je suis un homme à fuir.

• • • Un physique qui déchire

« La nature est parfois généreuse »

Les cheveux légèrement long, ils sont châtain clair, tantôt foncé, me tombant sur les yeux ou quelque fois coiffé vers l’arrière afin de donner un style différent de ma coiffure habituelle. Mon visage à la peau pâle est éclairé par deux yeux bleus assez profond, un atouts pour le charme tout comme mon sourire qui généralement ne manque pas de faire craquer la gente féminine. Assez grand, si ce n’est très, je mesure environ 1m80, et je suis assez musclé, certainement dû au sport que je pratique depuis toujours. Je suis passionné par ce que je fais et la danse me réussit. Même si c’est une activité que je ne dévoile qu’à peu de personnes.

Quand à mon style vestimentaire…. Je suis assez jean, t-shirt tout simplement comme tous les jeunes de mon âge. J’ai un faible pour les vestes de cuir et les bonnets, je ne m’habille pas vraiment à l’arrache mais je ne fais pas forcément attention à ce que je porte non plus. Je suis assez libre dans ma façon d’être et je ne me coiffe que très rarement. J’ai plutôt l’habitude de passer mes doigts dans ma chevelure pour leur donner un style. Assez cool en somme sans que je ne me pose trop de questions, adaptant ma tenue au temps, troquant shorts contre survêtements quand il le faut. Je sais parfaitement que je n’ai pas besoin de mettre du gel et un costard pour plaire à ces demoiselles. Il suffit de leur poster une attention toute particulière et elles en sont ravies.

• • • Un conte de fée


« Tout commence par un lever de soleil »

Une naissance, l’apparition d’une vie. Celle qu’on ne peut voir que sur les album photo car ce genre de souvenirs ne restent en mémoire. Ou du moins, personne n’en est véritablement conscient. Moi pas plus que les autres. Mais c’est une histoire qu’on raconte encore et encore, une histoire qui débute le 15 mars 1987. Je revois le sourire de ma mère lorsqu’à chaque fois, elle ajoutait accompagnant ces quelques chiffres du 2, correspondant au nombre de jours que je la fis souffrir simplement pour ne pas gagner la fraîcheur d’un monde nouveau après une intime relation avec ma mère, sa chaleur corporelle. A noter que ceci était la version des infirmières. N’ayant aucuns souvenirs, je ne peux y attester. Mais il faut savoir que je n’étais que le fruit d’une aventure, infélicité faite par mon père à son épouse, mère de son second fils Aaron. Je fus donc élevé par mon beau père, qui était un homme bien, bien que je n’ai jamais été réellement proche de lui, partagé entre le biologique et l’adoption, entre deux pères, coincés entre deux mondes différents.

Il faut savoir que la rencontre avec ce frère inconnu fut marquante puisque le contact loin d’être aisé fut difficile. Jalousie ou simple indifférence causé par l’acte affligeant de son père dont j’étais la preuve? Je n’en avais aucune idée mais le courant n’est jamais passé entre lui et moi. Et c’était au-delà de l’amour ou la haine, on se fichait de savoir ce que devenait l’autre. On vivait dans une complète indifférence.

Son adolescence & sa jeunesse

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« Tout enfant grandit et trouve sa voie »

L’adolescence débute vers douze treize ans. L’époque des premières petites amies et des premiers flirt. Je me souviens de cette jolie blonde qui dès la sixième m’avait sauté au coup. Une jeune fille intéressante et qui m’avait marqué pour le courage dont elle avait fait preuve en venant me voir devant Keith pour me demander de sortir avec elle. Bien entendu, en primaire, j’avais déjà eu des smack ou autres futilités du genre amoureux, voir les promesses de se retrouver plus grand, ce qu’on dénie lorsqu’on grandit. Toujours est-il que….Kate me plut et je me suis donc lancé dans cette aventure que l’on nomme le couple. Mais je dois avouer que c’est à cette époque que mes travers commencèrent si on considère ce genre de choses comme des travers.

C’est environ une semaine après mon oui que je rencontrais cette brune au yeux de chat. Certes je n’avais que treize ans mais aussitôt elle m’attira et je compris alors qu’une fille, ce n’était pas pour moi. Je compris que je n’étais pas l’homme d’une seule femme…ou plutôt le gamin. Mais ma franchise m’empêchant de jouer avec leurs sentiments, je disais tout, même si ainsi, j’en ai blessé plusieurs ce que je hais faire. Les filles sont tellement plus belles lorsqu’elles nous font l’honneur d’un sourire.

Les années s’écoulèrent et le temps trépassa, me voyant vieillir. Du lycée et des sortes en boîte, je fus conduis à l’université. J’étais déjà à cette époque un véritable Don Juan, accumulant les conquêtes un soir, la drague un verre à la main. La fac….J’aimais écrire, vu que j’avais une certaine facilité avec la langue, trouvant toujours les belles phrases à prononcer pour ces demoiselles et j’étais un tempérament assez curieux. C’est tout naturellement que je me dirigeais vers une fac de lettre pour ensuite entrer en école privée.

Imaginez les cours puis le soir les virées en boîtes ou je la vis. Mon coup de foudre, celle qui fit naître tant d’interrogations. Je ne saurais dire la sensation éprouvée quand je l’ai vu. Son sourire…Sa façon de rire. L’éclat de son regard. Elle me subjugua, m’hypnotisa totalement.

La vie cependant est plus difficile que ça. Le journalisme, métier que j’escomptais entreprendre, est un monde très fermé sans parler du pouvoir du pistonnage que je n’avais pas. Alors, que faire de ma vie?

Ensuite & maintenant

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Hormis ce métier qui m’attirait réellement, je ne savais quoi faire de ma vie. Bien entendu, j’avais une seconde passion, la danse. Depuis tout petit, courant les rues dès que ma mère avait le dos tourné, j’admirais les jeunes des cités qui faisaient des Battles sur le béton bloquant la circulation de ces rues soit disant mal famées. Si bien qu’un jour, l’un d’eux me prit sous son aile et me forma.

Spoiler:

« Les filles tiennent un journal intime pour y noter les sentiments qui les étreignent. Pour ce qui est de moi, je fais tout passer par les mouvements un corps que je maîtrise parfaitement. Si je ne sais plus aimer désormais, je sais être passionnée. Quoiqu'Emily redéfinit le mot aimer à elle seule. »

Toujours est-il que je ne pouvais faire ma vie sur ça quoique….Pendant quelques mois, je recherchais un boulot, avant d’atterrir devant un bar, alors que je désespérais quelque peu. Mais ce soir là, le gérant du bar qui manquait de personnels nous fit travailler et devant mon service impeccable décida de m’engager. Surpris, j’acceptais néanmoins car c’était toujours ça de gagner. Mais ce n’était pas tout.

Un soir alors que je naviguais entre les tables, la musique coula dans mes veines irrésistibles et alors que je posais le plateau, je vis une fille danser sur scène. Ne me préoccupant pas des gens alentours, je montais à sa suite et c’est tout naturellement que nous fîmes un duo. Un véritable succès qui désormais me donne le droit de donner des représentations dans mes spécialités. Ce qui me réchauffe le cœur quand je repense au journalisme.

Sachant que tout ceci se déroule désormais à San Francisco, où j’ai retrouvé Emily, la femme que je ne parvenais pas à oublier et la seule.

Mais le temps a coulé et la jeune femme a disparut. Je ne sais pas ce qu’elle est devenu et n’ait aucun moyen de me renseigner. Je suis simplement détruit par le fait qu’apparemment, elle soit disparut dans je ne sais quelle histoire compliquée. Elle n’est plus là, le résultat reste le même. Baissant la tête sur mes genoux, je reste collé à ce mur toute la journée, le visage blême et les yeux termes, devant une évidence que je ne veux approuver comme si…comme si le monde s’était éteint. Je ne comprends pas, je n’arrive pas à savoir ou connaître, je suis simplement perdu et surtout détruit de l’intérieur. Comme si je présentais quelque chose. Morte …. Je suis mort aussi. Je marche en binôme, je marche avec elle. Et au long de ces mois et années sans nouvelle, je dus me rendre à l’évidence. Elle n’aurait pas été du genre à me laisser en plan ou à abandonner sa fille. Détruit, je ne voyais plus le monde, je ne voyais plus rien de mon extérieur, simplement le noir et le sombre, j’étais un zombi, un mort dans le monde des vivants. Je ne dansais plus, comme si c’était devenu une tare, je m’étais reconvertit dans la police Le passage fut simple, et j’étais doué en sport… Logique non? Le danger et la perspective de mourir sur chaque intervention était une délivrance comme le fait de survivre était une pitoyable révélation. Je ne voulais pas me suicider et être un minable jusqu’au bout. Mais j’avais besoin d’elle… et elle n’était plus. Je n’ai rien à dire sur ces cinq ans… Rien… Sinon ce serait me flageoler moi-même. Simplement.. Je ne suis plus que l’ombre de moi-même, barbu, alcoolique et désagréable. Un homme qu’on approche pas.

• • • Et pour terminer
Répond comme si ton personnage répondait et non toi !
Si j'étais un fruit, je serais ... une mangue
Si j'étais une musique, je serais ... heart of a volunter pearl harbor
Si j'étais un livre, je serais ... n'importe quel livre trempée
Si j'étais un plat, je serais ... de la salade avariée
Si j'étais un dessert, je serais ... un yahourt périmé
Si j'étais un pays, je serais ... l'angleterre
Si j'étais une fleur, je serais ...je serais un arbre, le saule pleureur
Si j'étais un animal, je serais ... le loup
Si j'étais une star, je serais ... personne
Si j'étais un personnage, je serais ... un volturi

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