Je commençais à me dire que quelqu’un dans les cieux devait me haïr, que j’étais sans doute maudite pour un péché que j’avais pu commettre. Je ne voyais aucune raison à tout ce malheur qui m’entourait. Cela ne faisait qu’une journée que Noah et moi étions séparer et je ressentais cette tristesse à son image, il me manquait bien plus que je n’aurais plus imaginé. Ce soir elle savait qu’il viendrait, elle en avait peur, peur de pleurer devant lui, J’avais imaginé toute la journée ces lèvres sur les siennes, l’idée de le voir toucher son corps de déesse, et pourtant je n’arrivais pas à lui en vouloir,

Pour la première fois depuis longtemps le Texas et sa simplicité me manquait. San Fransisco était si différent en bien des points, plus coloré, plus intense, une total créativité se formait autour de moi, petite fille perdu dans cette grande ville, je regrettais la solitude et la douceur des champs de blé ainsi que les doux rayons de soleil qui se posaient sur moi le matin quand je m'éveillais tel une fleure dans l'herber verte, mes parents n’avaient jamais compris ce besoin vital qu’étais la musique à mes yeux. Pas un simple art mais un vrai moyen d’expression, la possibilité de réussir dans un domaine, vivre un rêve éveillée. Je m’étais enfuie, lâche et faible, je regrettais mon action, j’aurais du assumer tout cela mais il était désormais trop tard, chaque matin j’espèrerais faiblement des nouvelles, mais les déceptions étaient là, je ne savais pas, je ne savais plus, j’étais comme perdu au milieu des nuages. Peut importe le chemin que je choisirais ma perte serais au bout. Une lettre, quelques mots « Maman tu m’as toujours dit de vivre de mes rêves, être une femme accompli, c’est le chemin que j’ai choisit », cela était certes bien trop court mais c’était ainsi, je m’envolée direction San Francisco. Je choisit San Francisco après deux autres destinations, cette ville m’inspirais et me donnait envie de vivre à 2oo à l’heure. Je me rappelais si bien cette douce soirée, alors que le vent baisée son souffle dans son écrin d’hiver, la nuit était si froide ce soir là, je débarqué, petite paysanne dans une grande ville, vêtu d’un jean un peu Veillot, un pull blanc et des rêves pleins la tête. Je marchais fasciné et admirative de la beauté de New York, ses lumières, je voulais vivre mon rêve Américain. Et je ferais tout pour y arriver. Paisiblement je marché découvrant chaque parcelle des rues jusqu'à ce que je tombe sur un cabaret, rien que par son aspect il attira mon attention, je fus comme attirer vers lui, un lion attiré par sa proie, je fut obsessive, et j’y rentrais, l’endroit été magnifique, tout semblait parfait et magique. Je me serais cru dans un rêve ou au paradis, tout était beau et accordée. Je compris directement que je voulais en être, cette équipe, ce cabaret, moi sur scène. J’étais assez impulsive et je savais ce que je voulais, il fallait que j’y entre mais j’ignorais encore comment. Dans le bar d’à coté, une soirée karaoké si je puis dire ce tenait, je ne pris pas une seconde pour réfléchir, je devais chanter la bas. Prenant mes marques, je leur chantais, une mélodie, assez connu et le fus transporté dans un océan de joie. Ils semblaient apprécier, je voyais au fond de la salle, une femme à la beauté incroyable, je l’avais déjà entraperçu, une sœur Sanford, Cassidy. Son regard était posé sur moi et je dois dire que cette sensation était à la fois étrange et intéressante. Cependant je ne changeais rien à mon comportement, la chanson fini je descendis simplement en direction du bar quand elle m’adora, et nous commençâmes en longue discutions. Aujourd’hui j’étais sa chanteuse, et elle croyait en moi sans doute plus que personne et je dois dire que je l’admirais. Chanter ce soir la me rappeler ce bonheur.

J’aperçu vite au fond Noah et mon regard ne pouvait pas décoller de l’homme que j’aimer. Une fois fini, je descendais de la scène arrivant jusqu'à lui.

« - Bonsoir Noah … Tu me suit.

Je parlais d’une voix très douce, Je l’amenai dans ma loge, ou ses affaires étaient soigneusement disposées, j’avais envie de le tuer et de l’embrasser, le sentir contre moi, je restais figée sans un mot, plongée dans son regard

J’étais ailleurs, ce soir pour la première fois je n’avais pas mit tout mon énergie et ma voix dans cette chanson, Ces dernier temps tout se bousculer dans ma tête, des sentiments sans doute trop fort, envers un homme, trop proche de lui mais je dois dire que je commençais à avoir peur de ce que je pourrais ressentir à son égard. Il me semblait comme ce piano, parfait, sans défaut, doux et mélodieux, une sensibilité caché et incroyable il était comme lui, parfait et tout comme la musique cet homme m’était des plus précieux. J’aimais la musique, elle était tout simplement ma vie et tout ce que je pouvais espérais pour être heureuse. Cassidy et Missy, elles étaient un peu comme les héroïnes, je les respectais, les admiraient et les aimaient beaucoup. En préférait l’un à l’autre me semblait totalement impossible. Elle avait chacun de ce coté sincère, quelques choses que j’admirais. De nos jours la sincérité était tellement inexistante. L'homme qu'elle drôle de machine. Tellement complexe à la fois inédit et machiavélique. Je ne comprenais pas cela. C’est ainsi que je voyais l’espèce humaine, fausse et méchante. L’erreur est humaine à écrit un grand homme, je dirais plutôt que l’erreur est la cause d’un comportement voulu, nous sommes tous les maîtres de notre corps et chaque gestes et actes est pertinemment voulu. Alors l’erreur humaine est une pure invention pour faire passé l’homme pour quelqu’un civiliser alors qu’au fond il est un animal peut être différent, utilisant des pratiques culturel alors que l’animal reste dans le naturel mais comme lui il n’a aucune pitié pour sa proie et il est stupide. L’humanité, il y avait tellement peu d’humain capable de compassion envers quelqu’un d’autre, combien était sincère ? Combien ne mentaient pas sur leurs sentiments ? La franchise, peut de personnes en sont réellement capable et c’est quelques personnes peuvent être fière d’être humain. Je haïssais l’espèce humaine à ce moment, pourtant différent de mon comportement habituelle mais la souffrance me changeais, je ne voulais plus y croire en tout ces ryes humain. Je serais désormais Kate, simplement Kate Matthews sans chercher à devenir quelqu’un que je ne veux pas être, juste moi dans toute mon humanité. A la fois, forte malgré la peur de souffrir, à la fois belle car les apparences sont essentielles désormais; maligne reviseuse. Douce et indépendance. Je voulais simplement être plus forte, évitant sa souffrance. Courageuse, franche, perfectionniste et sensible. Cassidy était le contraire de sa, belle, forte et franche. Je regrettais mon manque de professionnalisme ce soir, et en voyant le visage de Cassidy je lui fis comprendre que j’étais désolée et qu’elle serait tout plus tard.

Noah et moi entrèrent dans ma loge, tout blanche, des photos, des tonnes de vêtements et un immense miroir avec toutes sortes de produit de maquillage, Ce soir je portais une robe rouge épousant parfaitement mes courbes, je me sentais stupide d’être la face à lui, à ne rien dire et heureuse de le voir tout de même.

« - Cava merci et toi ?

C’était assez monotone, une ambiance étrange régnait et je détester sa, je n’arrivais pas à le haïr mais les choses étaient faites.

« - J’ai tout ramener ici, si j’ai oublié quelques choses tu me dira et je ne savais pas trop ou les mettre alors, prend ce qu’il te faut pour le transporter.

Je me tournais un instant face au miroir, regardant mon reflet celui d’une pauvre fille.

« - Tu sais je suis désolée de t'avoir parler comme sa l'autre soir.

Je n’arrivais pas à le haïr, je devrais le détester mais je l’aimer, j’étais à ce moment folle et consciente, j’étais un mélange de haine, de fureur et de tendresse. Je fixais son visage, chacun de ces traits. La dernière fois que nous avions été la lui et moi c’était à notre première rencontre et désormais à notre rupture, je voyais la vie comme un monde cruelle, Le souffrance est une douleur sans fin, qui se répercute, qui revient, qui disparait, qui se fait oublier, et qui tue. Inlassablement elle vous lacère le cœur et ne vous quitte jamais complètement. J'ai pensé un instant que la sensation de manque, de douleur intense s'estomperaient avec le temps, ou alors que je m'y habituerais. Mais ce n'est pas le cas. Jamais on ne s'y habitue, c'est comme une blessure au cœur qui vous lance lorsque vous souhaitez la guérir, qui ne cicatrise pas, et qui saigne toujours abondamment. C'est rouge, ce n'est pas noire comme beaucoup pourrait le penser. Le noir représente tout de même une sorte de néant, un vide sans fin et sans fondement, une chose inhabituelle, et perverse. Le noir est une couleur qui anéantie sans aucune chance de changement. Le rouge est différent de bien des façons, et j'étais persuadée que si la souffrance était une couleur, elle serait pourpre, ou rouge. C'était presque évident.

"T'as rien à t'excuser c'est normal que t'ai réagit comme ça... Je sais très bien que si ça avait été l'inverse j'aurais fait pareil, voir pire... T'as vraiment rien à t'excuser c'est moi qui suis vraiment désolé de ce que j'ai fait, en aucun cas j'voulais te faire de mal et je ne sais pas quoi t'dire parce que j'sais que tu me pardonneras pas ça... Et malgré tout j'te comprend "
« - Je t’aime mais j’ai peur de te faire de nouveau confiance, mais je sais ce qui se passe, et je comprends, je vais bien t’en fais pas.

Je tentais d’être convaincante dans mes dires, et de lui faire de moins de mal possible. J’approchais doucement lui offrant un sourire rassurant, délicatement je posais mes mains sur son torse et je frissonnais encore à son égard.

« - Je suis désolée

Je ne pu résister mon corps fut pris d’une soudaine envie, j’approchais et je l’embrassais.

Le premier amour, Kate s’en souvenais, il s’appelait Eric. Les vacances, la sensation de liberté et d’amour, tout était parfait, il c’était jurée un amour éternels, ensemble à jamais, elle n’oublierais jamais ces mots « je t’aimerais toujours Kate, que tu sois à douze milles kilomètres de moi n’y changera rien, je t’aimerais parce que, je veux te voir te fâcher parce que j’ai encore oublié de fermer le couvercle des toilettes, parce que, je veux te voir rire parce que l’un de nos enfants aura mit de la colle pour réparer ta chaussure cassée, j’ai juste envie de vieillir avec toi, je t’oublierais pas », cela avait durer 5 mois, trois mois de vacances et deux mois loin l’un de l’autre, s’appelant et s’écrivant chaque jour, elle y avait cru vraiment jusqu'à au jour ou elle reçu la lettre, ou son cœur se brisa, une fois, pour la première fois, « - Bonjour mon cœur, c’est moi encore, je ne sais pas comment je fais pour vivre sans toi c’est horrible, mes journées sont tellement monotones, je ne sais pas quoi faire ou dire si tu n’est pas la ; je t’aime tu sais, pas aimer au sens aimer mais je t’aime plus que tout au monde tu sais, je veux plus être loin de toi, je refuse d’être loin et de plus sentir ton odeur, entendre ton rire, ou juste savoir que tu es la pas très loin de moi. Mais les choses changent et les gens aussi, tu sais comme moi que rien n’est définitif et j’ai promis de jamais te faire souffrir et je tiendrais paroles, je vais bien ne t’en fait pas, et sa ira ce n’est pas simple à faire ou à dire, mais je ne veux que ton bonheur et je ne suis pas celle qu’il te faut, je l’ai comprit et je suis désolée de tout ce que j’ai pu faire, tu sera tellement mieux sans moi, ne m’attend pas. Je suis désolée mon cœur et je t’aime à jamais. » et du jour au lendemain plus rien, elle était seule, et malheureuse, elle ressentait ça, cette peine face à lui, sauf que Noah était vivante, devant elle à jamais.

Ce baiser, elle comprit son amour bel et bien existant, mais elle refusait de le priver de quelques choses. Pourquoi, elle ne pouvait pas y répondre, elle le fixait, sincèrement, que dire ou que faire, elle ignorait.

« - Je … je n’en sais rien, j’en avais envie simplement, je ne veux pas renoncer à toi comme sa, on continuera à ce soir n’est ce pas ?

C’était rassurant de savoir que nous pouvions être simplement amis, sa ne veux pas dire que ce ne sera pas simple mais avec un peu de volonté je savais que nous en étions capable. Je croyais en l’amitié homme femme, peut être même plus qu’a celle entre fille, c’était simple et sincère comme celle qui me liée à Drew.

"Si t'accepte de me voir alors oui j'aimerais qu'on continu de se voir... J'ai pas envie de ne plus avoir de tes nouvelles ou quoi, j'tiens vraiment trop à toi pour être capable de couper les ponts avec toi..."
« - J’en serais incapable non plus

Il parait que Le courage est un trait de caractère qui désigne la capacité à surmonter la peur pour faire face à un danger. Le terme peut aussi être employé pour exprimer l'endurance, notamment à l'égard de la douleur. Le courage est à distinguer d'autres notions à connotations plus péjoratives, comme l'audace ou la témérité, pour lesquelles le moteur de l'action n'est pas la peur, mais le désir ou l'orgueil. Le courage a longtemps été considéré comme la principale vertu masculine. Le contraire du courage est la lâcheté. Je l’étais au minimum, mais j’aurais pu affronter mes peurs, dire à Noah que je lui pardonner mais mon courage s’évaporer encore une fois.

"Tu sais... t'es vraiment très jolie dans cette robe"
« - Merci … tu es pas mal non plus.

J’apprécier toujours des compliments surtout quand je les savais sincère,

« - Hum je fini dans pas longtemps on pourrait aller boire un verre ? … entre ami si tu es disponible bien sur, je comprendrais Nancy doit attendre son père.

Au fond je voulais juste un mot « oui »

Kate est de nature jalouse, surtout en amour et Sabrina était extrêmement belle, elle lui envier aussi sa classe. Aux yeux de Kate la jalousie c’est avant tout une preuve d’amour, La jalousie fait partie de toute une gamme de sentiments que l’on peut éprouver vis à vis d’autres personnes. Elle peut s’exercer à l’égard de nos amis, de nos collègues, de nos frères et sœurs, de nos voisins, de stars, d’inconnus croisés dans la rue, de n’importe qui finalement. Il existe toutefois des différences entre le sentiment de jalousie que l’on peut ressentir, et la proximité de la personne vers qui ce sentiment se dirige. Il est évident que l’impact de la jalousie sur une personne avec laquelle nous vivons au quotidien ne sera pas le même que l’impact d’une jalousie à l’égard d’une personnalité médiatique. Et Kate l’était envers cette femme, parfaite que tous les hommes s’arracher sans doute, elle n’avait jamais ressenti ça, et quand elle apprit que c’était elle, elle eu peur de ne pas être assez bien pour lui, peur d’être juste Kate Matthews, une petite chanteuse de rien du tout, à coté d’un homme formidable, qu’elle admirait et aimer passionnément.

"J'suis libre j'veux bien venir boire un verre avec toi... Nancy dors depuis longtemps il est déjà presque minuit"
« - Génial, j’avoue sa ne mets pas venu à l’idée, tu préfère aller ici ou ailleurs ?

L’impatience ce guettait, elle avait tellement hâte d’une soirée avec lui, Elle ne voulait pas espérer quelques choses mais juste le retrouver quelques heures, son sourire et son regard tendre.

« - Dans une demi heure à peine, encore deux chanson, je passe voir Cassidy et je suis à toi chéri.

Elle comprit de suite sa maladresse et ses joues devinrent rouges, elle se sentait totalement bête

« - Désolée … L’habitude.

Je soutenais son regard, affichant sur mes lèvres un sourire doux et sincère ; j’avais compris mon amour pour lui dés le jour ou j’avais réalisé que sans lui je ne trouvais pas une raison suffisante pour sourire. Noah avait aiguaie à sa manière ma vie, même si désormais une touche de noir s’infiltrer encore et pour un moment. Je ne baisserais pas ma garde, je rester forte et faussement heureuse, je savais la suite il partirait surement avec Sabrina et cette idée si douloureux me fit monter les larmes aux yeux, que je retenais simplement par la force d’esprit, il ne fallait pas pleurer, ne surtout pas pleurer. Sortir lui et moi ce soir, c’était le moyen de mettre certaines choses au clair, de s’expliquer et surtout de pouvoir le regarder toute la soirée.

"On bois un verre ici si tu veux, à moins que t'ai pas envie de resté là étant donné que c'est aussi ton lieu de travail ce que j'comprendrais donc y a pas de soucis non plus si tu veux aller boire un verre ailleurs"
« - Oui … peut importe l’endroit … tant que tu es là.

Je ne compris mes paroles que par la suite et me sentit légèrement stupide de tel mot face à notre amour fini. J’hochais positivement la tête après qu’il ai décidé de m’attendre dans la salle, il sorti de la pièce lumineuse, je fixais mon regard dans ce miroir, mon reflet, semblait si fade, je devais réagir, le rattraper ? Lui dire je t’aime ? Lui demander de revenir vers moi. C’était ridicule, je voulais juste son bonheur, le voir heureux et si ce n’était pas moi je l’acceptais, j’aurais pu crier je t’en pris, ne m’abandonne pas … je t’aime. Je restais quelques minutes la sans bouger avant d’entendre un murmure dans la salle, mon nom. Je marchais juste qu’à la scène, d’un pas assez heureux et d’un visage illuminer, l’embrasser m’avait donné la force de me battre. Voir le visage de ces gens me donnait de l’espoir, il m’aimait moi, pour une voix et une sincérité, je respirais, cherchant des yeux le regard de Noah, jusqu'à ce que ce tendre regard ne croise le mien.

« - Cette chanson est pour un homme qui se reconnaitra.

Un doux air mélodieux commença, le piano, suivit de violon et d’une touche de flute, une chanson d’amour, le centre de mes pensées, je fixais le sol et timidement son regard, un stress inconnu monta en moi, je n’avais pas ressenti sa depuis si longtemps, depuis mes débuts ici.

« - If I should stay I would only be in your way so I'll go but I know I'll think of you every step of the way … And I will always love you …

Je ne quittais son regard. La chanson toucha sa fin, les applaudissements, un sourire, un salue. Me dirigeant vers Cassidy elle semblait satisfaite et fut heureuse de l’âme que j’avais mise dans ma voix. Je l’embrassais et approché de Noah

« - Je suis à toi …

Je soutenais, j’aimer et je vivais. D’une certaines manière j’étais heureuse, heureuse d’avoir une vie formidable. Mais pourtant je restais une femme triste, dans une vie monotone, je fixais quelques choses sans savoir, c’était donc ça être amoureuse, se sentir dépendante de quelqu’un, aimer à perdre la raison, se sentir si bien quand il était la, et ne vouloir qu’une chose sentir ses lèvres contre les miennes, oui j’aimer, je l’aimais même passionnément. L’aimer au point d’en devenir même folle. Et ce sentiment dont j’avais eu si peur pendant longtemps, ce sentiment qui m’avait fait fuir, je l’adorais, j’aimer sentir ça, ressentir l’amour en moi c’était si agréable. Pourtant les larmes coulés depuis plusieurs jours mais là il était là, ses mains prés de moi, son odeur et sa douceur, alors comme toujours j’oublier tout ce que j’avais ressenti. J’avais envie de l’embrasser, de lui dire de nouveau je t’aime plus que tout au monde. Mais je devais me contrôler mes pulsions. Je pouvais tout faire pour lui, peut être même arrêté la musique ; je m’en fichais du reste là, c’était lui avant tout.

« - Merci Noah. Sa me touche … vraiment.

Nous quittâmes l’hôtel ensemble, j’avais pris quelques minutes pour me changer, le bar étant moi classe, mais tout aussi conviviale. C’était un endroit accueillante, le bar était plein de jeune, je me sentais si vielle à coté. J’avais choisis un jeans de couleur bleu foncé, accompagné d’une paire de bottes en cuire marron à talons carrés, et un top marron. C’était basic mais agréable à porter. Une légère pluie tombait et en entrant dans ce bar mes cheveux étaient légèrement mouillés.

Une musique du style « I love rock and roll » passait dans la pièce, j’apprécier, nous approchions ensemble et le patron nous offrit deux bières, première consommation gratuite, une table fut libérer dans le fond, proche l’un de l’autre je me plongeais dans son regard, captivant, je ne savais pas quoi dire ou faire mais j’aimais le regarder, j’adorais ça totalement.

Le moment était venu, je déposais mes mains sur la table, le regardant droit dans les yeux.

« - Tu m’avais manquée.

La soirée fut merveilleuse, totalement, nous rions ensemble, chantons, et juste comme deux gamins s’amusions. Je n’avais pas ressenti ça depuis longtemps, la liberté d’une enfance ou la sensation de compter pour quelqu’un. Mais bien sur elle passa très vite beaucoup trop vite. Il me raccompagna, devant ma porte tout était plus clair, je déposais mes lèvres sur sa joue.

« - Noah, je j’aimerais vraiment que tu fasses quelques choses pour moi … soit heureux, je t’en pris, vit ce que tu dois vivre avec Sabrina ou même avec une autre femme fait soit heureux s’il te plait.

Je rentrais me plonger dans un sommeil profond.