Dimitri T. Davenport
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Sujet: I want to reconcile the violence in your heart | Dimi {Ended} Lun 1 Mar - 0:56 |
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Dimitri Toby Davenport• feat "Toby Hemingway" • Dans le groupe PASSION, bien qu'on pourrait le placer aussi dans GLORY, mais bon, on va choisir Passion. • Je naquis le 14 Décembre 1989 à Los Angeles • Mes parents sont toujours en vie ¬¬ Mariés • Je suis mécanicien apprenti ou à mi-temps si vous préférez • J'aime le mec sur la boîte des céréales. • Mes hobbys sont la danse, le rugby, le basket et sortir • Je n'aime pas mon père, l'autorité, le mensonge, la trahison. • J'aime le reste, sans doute | |
• • • Une petite dose de caractère Il se décrirait comme les deux côtés d'une pièce. Celui qu'il est; pile. Un garçon assez renfermé, silencieux, qu'on ne remarque que pour son attitude de bad boy je m'en foutiste et les tatouages sur ses bras. Pas grande gueule, il préfère garder sa salive pour dire des trucs utiles et intelligent. C'est pas un génie, d'ailleurs il ne cherche pas à l'être, il a déjà du mal à jouer sur deux tableaux. C'est un acteur, il cache très bien ses émotions et il est un handicapé sentimental, jamais sûr que ce qu'il ressent est vrai ou seulement l'excitation du moment. En perpétuel combat contre lui-même, il a tendance à chercher la bagarre, bien qu'il ne fasse pas ça pour attirer le regard. Et en même temps si. Plutôt contradictoire et complexe, il aimerait qu'on le regarde et en même temps, il aimerait passer inaperçu. C'est un passionné de musique. Il a fait huit ans de batterie et danse depuis maintenant quatre ans, en cachette. La danse de rue, de salon et d'autre danse, sont les seuls moyens pour lui de se montrer tel qu'il est, de se mettre à nu, d'extérioriser. Plutôt secret, il n'aime pas faire étalage de sa vie privé et pour cause. Son père est un militaire - du moins c'est ce qu'il croit - qui voit en la danse une activité de grande folle, alors si il apprend que son fils adore ça. Pourtant il a toutes les preuves nécessaires pour voir que son fils n'est pas gay mais peu importe. Dimi ne veut pas prendre de risque alors il triche, il ment. C'est son autre visage; face. Pour son père et sa mère, il est l'étudiant calme qui se satisfait de ce qu'il a. Il a des problèmes parfois, il est souvent puni mais c'est un gamin comme les autres. Son boulot à mi-temps comme mécanicien c'est la face cachée, c'est le moyen de pouvoir danser. Donner un alibi qui tienne la route. Contrairement à son père, Dim' n'est pas un dur qui aime passer pour martyr, c'est plutôt un martyr qui veut passé pour un dur. Il est sociable même si généralement ce n'est pas vraiment lui qui va vers les autres. Il est de bonne compagnie puisqu'il n'est pas de ceux qui vous noie sous des questions existentielles. Lui, il écoute. Il se tait et écoute. Il n'est pas muet pour autant mais il se pense tellement moins intéressant que les autres, qu'il la ferme. En revanche, il lui arrive de réagir comme un mec de son âge, de se fâcher, de s'énerver, de rouspéter, de contredire l'ordre ... • • • Un physique qui déchire C'est pas un beau gosse, et de toute manière il s'en fout un peu. L'apparence n'est pas ce qu'il trouve le plus important chez quelqu'un, même si ça joue vachement quand même. Il a les cheveux blonds clairs courts, bien qu'il ait déjà eu le look androgyne mais lorsque sa voisine l'a confondu avec une fille il a tout rasé. Le visage plutôt carré, il ressemble à son père, trop vous dirait il en boudant. Bien qu'il ne soit pas musclé, il a une carrure d'homme fort pour son âge, sans doute qu'il tient ça de son père.. Pff. Ses yeux bleus foncés, qui s'éclaircissent selon l'éclairage, sont ce qu'il déteste le plus parce qu'il trouve que c'est trop cliché d'être blond aux yeux bleus. Il aime bien ses lèvres et sa mâchoire carré sur laquelle à longtemps subsistait quelques bleus de gamelle de son enfance. Il n'est pas grand, ni petit, 1m75. Son poids est tout à faire normal pour sa taille et de toute manière, il n'arrive pas à grossir, il se dépense trop. Ses tatouages sont sa fiertés, sinon ils en auraient pas. Logique. Il en possède sur les deux bras et sur l'épaule gauche. Il n'a pas de look particulier, il s'habille un peu comme lui vienne les fringues le matin. Il n'aime pas la mode, il n'aime pas les gens qui se réfèrent au style vestimentaire. Il essaie toujours de passer inaperçu de toute manière.
• • • Un conte de fée La pluie avait semblé s'abattre sur Los Angeles avec force, comme pour accentuer la tristesse dont était frappé le jeune homme blond, le visage collé à la vitre de la voiture qui les menait à l'aéroport. Ecouteurs sur les oreilles, un morceau de Muse à fond, crachant les paroles dans ses tympans, il n'écoutait plus, n'écoutait pas son père qui parlait et parlait. Détournant le regard du paysage de bitume, Dimitiri grimaça en voyant les lèvres de son paternel bouger, un peu comme si il mâchait un chewing-gum au ralentit. La vision finit par le dégoûter alors il observa sa soeur qui dormait sur son épaule. Ses cheveux teint en brun s'éparpillaient sur le tissu vert de son sweat mais il n'en fit rien, habitué à se retrouver avec des mèches sur ses vêtements. Il posa sa joue sur le sommet de son crâne et jeta un coup d'oeil a sa mère qui répondait à son père, s'excitant à l'idée de commencer à travailler dans la nouvelle entreprise de San Francisco. Dimitri, lui, n'avait pas tellement hâte de suivre des cours là-bas, le coeur encore gros d'avoir du supporter les larmes de sa copine. Non, ex-copine maintenant. Se mordant la lèvre inférieur, il soupira et ferma les yeux pour déglutir difficilement. Le haussement de ses épaules éveilla légèrement sa soeur qui quitta son épaule pour poser sa tête contre la fenêtre. Sa nuit avait été aussi courte que la sienne, puis qu'en rentrant de chez sa copine, il l'avait trouvé en train de pleurer dans sa chambre, roulé en boule dans son lit. Ses pensées s'emmêlèrent. A celle de son dernier moment avec sa copine, se mêlèrent les habituelles prises de tête avec son père. Il le trouvait agaçant à vouloir se mêler de sa vie, quand on savait qu'il avait raté ses huit premières années, bien qu'il n'avait raté que les cinq premières de sa soeur, qui ne lui en tenait plus rigueur. Quelle idée d'avoir un père en constant déplacement. Il avait fait sa vie sans lui, mais voilà qu'il décidait de surveiller son gamin de près, de le descendre aux premiers faux pas, de demander plus, toujours plus.
« Pourquoi tu m'emmerdes? t'essaies quoi ? De rattraper les huit premières année où t'as pas pu me faire chier ?! - Ne me parle pas comme ça Dimitri !! - Pourquoi ? Qui es tu ? Qui es tu pour me dire ce que je dois faire ! La seule personne qui a un droit sur moi c'est ma mère !! » Le coup était parti, sans qu'il s'y attendre. La grande main forte de son père, main qu'il n'avait jamais effleuré que pour s'en défaire, s'abattit sur sa joue et le fit vaciller, si bien qu'il se rattrapa à la table de la cuisine. La marque rouge lui fit l'effet d'une marque au fer rouge, si bien qu'il attrapa sa veste et claqua la porte de la maison pour prendre son vélo et pédaler jusque chez Soraya. La nouvelle l'avait autant attristé que lui, et ses baisers avaient été noyé sous des larmes salées qu'il avait récupéré des pouces. L'idée même qu'il devait se séparer d'elle alors qu'il avait du se battre contre lui même pour rester avec elle. Il était un handicapé des sentiments. L'idée même de s'attacher l'effrayait, si bien qu'il fuyait mais elle s'était accrochée et avait réussi à briser ses remparts. Et voilà qu'à cause de son vieux, il se retrouvait embarqué.
Pourquoi ne pas être resté ? parce qu'il n'avait pas encore vingt-et-un ans et que quand sa soeur l'avait entendu émettre la supposition de rester, elle avait aussitôt fondu en larme. Ils n'étaient pas si proches, enfants, mais il se rendait bien compte que ces-derniers temps ils s'étaient rapprochés. Après tout, il était sans doute tant qu'au bout de 20 ans de vie commune, il se décide à ressentir un élan de fraternité pour elle. Mais quand on avait sans cesse vécu dans la compétition pour attirer l'attention d'un père absent, pour se battre pour partager l'amour d'une mère, on oubliait sans doute le lien de sang qui unissait l'un à l'autre. La musique de Muse se fit plus douce, le calme avant la tempête, et Dimitri s'imagina alors une succession de pas calés sur la musique. La danse, il espérait au moins pouvoir continuer à danser là-bas, sans que son père ne le sache. C'était Soraya qui lui avait fait découvrir la danse, du temps où ils n'étaient qu'amis. C'était d'ailleurs là qu'ils avaient commencé à devenir plus que de simples potes. Chacun de ses pas, lui avait elle dit, exprimé ses émotions. C'était vrai, il exorcisait les démons du passé mais pas grâce à la voix de Matt, plutôt grâce à la danse. Le rythme coulait dans ses veines, et son coeur battait la cadence. Mais ça, son père ne le comprendrait sans doute jamais, ou alors c'était ce qu'il espérait, que ses parents ne le comprennent pas. Son regard se posa une nouvelle fois sur le visage de son père. La cicatrice à son sourcil droit, la bosse de son nez, tous laissés voir qu'il avait l'habitude de se battre, de prendre les coups, d'encaisser. Lui, Dimitri, se demandait si il en serait capable. Et puis, il avait tellement de question sur son père, qu'il aurait aimé lui poser, bien qu'il ne savait pas comment. Il ne le connaissait pas en fin de compte. Ne savait rien de ce type qui disparaissait parfois pour des mois, voir quelques années, qui laissait des messages sur le répondeur que le gamin c'était amusé à effacer avant que sa mère ne les entende. Une manière, sans doute, de tester l'amour de sa mère pour ce type qui couchait dans son lit, le père de ses enfants. Les cheveux blonds, très légèrement grisonnant apostrophèrent le jeune homme. Depuis quand son père avait il le cheveux qui grisonnait ? Depuis quand cette ride au milieu du front était elle aussi marquée ? Dim' soupira et observa les lignes blanches qui délimitaient les places de parking. Près de la porte où ils étaient garés, un ami de son père attendait déjà pour récupérer le véhicule et le ramenait, pendant qu'eux devraient prendre l'avion. Sa soeur s'éveilla complètement et le fixa un moment, regard qu'il soutint avant de quitter le véhicule avec elle pour prendre leurs sacs dans le coffre. « Laisse moi t'aider. - J'suis pas une impotente bro' ! - Si tu veux te muscler vas y, tu ferais mieux de gagner un peu de force ouais. - Pff .. - Dim', Beth', on y va. » Sa soeur répondit avec une joie palpitante, décidément, elle soufflait le chaud et le froid celle-là. Quand à lui, Dimitri se contenta d'un haussement d'épaule et de serrer la main que lui tendait l'ami de son paternel. Son regard le marqua, si bien qu'il chercha à comprendre pourquoi il y avait lu cette inquiétude marquée d'un autre sentiment qu'il n'arriva pas à définir. De la compassion peut être ? Il reprit ses esprits qu'on lui demandait de mettre ses affaires dans le bac, pour passer le détecteur. Petit, il avait toujours cru qu'il s'agissait d'une porte sur un autre monde, si bien qu'il sautait à pieds joints, désormais, il y allait avec un fusil dans le dos. Son père ferma la marche, sans cesser de jeter de rapides coups d'yeux à l'arrière. Le blondinet ne chercha pas vraiment à comprendre, pensant que son père cherchait seulement un collègue ou ami qui aurait du lui dire au revoir. Tournant le dos à son père, il ne remarqua pas que ce-dernier faisait un signe à un agent de sécurité qui empêcha un homme de passer. Il remarqua à peine, aussi, qu'il était désormais assit sur son siège et que l'on annonçait le départ prochain de l'avion. Il n'était plus là, lui il était dans une salle, sur du parquet à glisser et bouger, son reflet l'imitant sur les miroirs de la salle de danse.
• • • Et pour terminer
Si j'étais un fruit, je serais moisi Si j'étais une musique, je serais du hard rock ou du hip hop Si j'étais un livre, je serais Gone, Baby, Gone Si j'étais un plat, je serais un hamburger Si j'étais un dessert, je serais un crumble Si j'étais un pays, je serais l'Italie Si j'étais une fleur, je serais morte Si j'étais un animal, je serais un raton laveur Si j'étais une star, je serais sans doute pas Paris Hilton Si j'étais un personnage, je serais Caliméro
Dernière édition par Dimitri T. Davenport le Mar 2 Mar - 0:47, édité 7 fois
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Lily K. Anderson
Spider Lily Une admin déjantée mais vous l'adorez !
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Sujet: Re: I want to reconcile the violence in your heart | Dimi {Ended} Lun 1 Mar - 1:07 |
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Welcommmmmmmmmmmme here ! Bienvenue à toi petit blondinet, avatar que je ne connais pas, hey hey. J'espére que tu te plairas sur ce forum, en esperant qu'il soit au déla de tes attentes et que tu t'amuses car je sens que tu vas t'amuser... enfin tout le monde s'amuse ici... avec une tarée comme moi... *Zbaff* ! Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche Lily
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