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La matinée était étrangement sombre, une grise pale et salasse s’étendait dans les cieux offrant une image tiré d’un film d’horreur. Une grosse brume blanchâtre couvrait quand a elle le sol. C’était frustrant et effrayant. J’eu la sensation d’être perdu, comme si le soleil n’allait jamais revenir. Sur le rebord de ma fenêtre je regardais l’horizon du moins le peu que je puisse voir. La brume couvrait tellement le sol que je voyais à quelques mètres à peine. Je plissais mon regard, fermant légèrement mes yeux dans l’espoir de voir des détails plus net mais rien la brume prenait toute la beauté de la vue qui s’offrait de mon balcon. Pourtant cette ville était plutôt habituée au soleil, rarement les rayons du soleil disparaissaient mais ce matin cela semblait différent. Je sentais déjà que quelques choses allaient changer mais j’ignorais encore la nature de ce changement. Je restais la sans bouger comme si je ne pouvais pas, comme si mes deux pieds étaient collés sur le sol blanc de ma chambre. Avérait dire je ne savais pas ou aller, j’avais l’impression d’être un peu perdu, mes jambes maigrichonnes tremblait jusqu'à ce que je reprenne conscience, je secouais mon visage, comme pour me dire réveille toi Kate, réveille toi. Prenant bien appuie sur mes deux jambes, je m’approchais de mon lit, que je faisais, avec plus de force que d’habitude. J’étais toujours du genre soignée mais la je le fis vite fait. Me dépêchant, allant à une vitesse qui m’étonna moi-même. Je filais directement en direction de la salle de bain, je me plongeais corps et âme sous une bonne douche chaude. Je laissais couler l’eau le long de mon visage, je levant même vers la paume pour profiter des biens faits de cette chaleur qui me détendait totalement. Au bout de quinze minutes, j’attrapais le peignoir blanc qui se tenait à gauche de la douche ; posant mes pieds sur le calage froid, je frissonnais. Glissant mes pieds dans une paire de pantoufles en rose clair. Le miroir flou à cause de la vapeur m’empêcher de voir mon reflet, j’avais l’impression d’être invisible, je passais donc un coup de coude et je laissais apparaitre mon visage, humide et pâle. Je ne mettais jamais considérais comme une jolie fille, simplement j’essaye de me plaire et l’avis des autres m’avaient longtemps était sans intérêt. Quittant la pièce, je rejoignais ma chambre, toujours aussi sombre, elle qui pourtant offrait des teintes clair tel que le blanc et le fusina. Je m’asseyais quelques minutes jambes croisées sur mon lit, pensant à ma vie antérieur au Texas. Elle me semblait si lointaine désormais. Reprenant mes esprits, en me secouant le visage j’ouvris l’armoire ou mes vêtements étaient disposées. J’attrapais un pantalon en jeans simple, basic, dans le style habituelle de ma garde robe, un tee shirt de couleur blanc et un veston noir par-dessus. Le temps ce calmé doucement mais le soleil n’arrivait pas.

Depuis mon arriver j’avais l’impression de vivre une vie à 1oo voir 2oo à l’heure, mes nuits étaient très courte et je dormais très tard chaque soir, j’étais un peu épuisée mais je profitais de chaque moment, de la beauté de chaque endroit et de chaque personne. Je vivais mon rêve, ma malchance fit qu’encore une fois je cherchais partout après mon portable, finissant par mettre la main dessus je fus heureuse d’y trouver un message vocale et surtout l’écouter, la voix de Drew je l’aurais reconnu parmi 1ooo, je ne pris pas une seconde pour réfléchir, si j’avais besoin de me détendre c’était en sa compagnie. Attrapant mon Blackberry, je sortais un peu rapidement attrapant le premier taxi que je trouvais pour me rendre au lieu de rendez vous. En chemin je dégustais un superbe Milkshake à la fraise étant ma boisson préfère, comme sa voix, j’aurais reconnu son visage parmi mille, de dos assit sur ce banc verre, j’avançais, je passais mes jambes par-dessus, chevauchant le banc pour m’assoir après lui =

- Bonjour ... vous attendez quelqu'un monsieur evans ? je souriais sachant bien que c'était moi.

Drew Evans à lui seul, il avait réussit à percer la Kate qui était vraiment en moi. C’était un soir de novembre, alors que le froid remplissait les villes de San Francisco, ici il avait était un soutien. Ce soir la j’avais cette affreuse sensation de n’être personne, d’avoir déçu tout ce qui m’accordais de l’amour, ce soir j’avais reçu un message de mon ancienne amie et voisine au Texas, elle m’avait appeler alors que je sortais d’un concert si je pouvais appeler sa ainsi, elle me racontait la vie la bas et la détresse de mes parents après avoir vu ma lettre, ils étaient selon elle détruit par mon égoïsme et mon sans cœur, j’étais perçue ainsi une fille sans cœur qui abandonne ces parents, j’en eu le cœur brisées. Je suis partie directement pour New York sans prendre le temps de réfléchir, un club à New York plus précisément dans un beau quartier de Manhattan, le bloc 122. C’était le genre de club ou toutes les petites filles riches se trouvaient, le genre de club ou seule une invitation pouvait nous faire rentrer. J'étais en quelques sortes une habituée, des que je me rendais à New York, j'y passais mais j‘entrais grâce a ma réputation . Rien que sa façade en dit long sur le type de boite, elle était d’une beauté incroyable, grande et imposante face aux autres boites d’alentour, cette boite représentait la luxure, le prestige et la classe new yorkaise. J’avais appris en une soirée, qui était les gens très important et les gens moins important de la ville. Les héritières y étaient en grand nombre, ainsi que les petites stars et bien sur les filles à papa toutes plus belles les unes que les autres, toutes vêtu de grande robe de couturiers, il y avait cette fille « Marylis woodsen », elle représentait à elle seul tout ce qu’une fille devait avoir, une fortune impressionnant, un corps et un visage parfait, sans aucun défaut. Elle avait des courbes incroyables, j’en étais même un peu jalouse, sa longue chevelures blondes, lisse et brillantes tombaient dans le crue de ces reins, en un seul passage tout les hommes étaient derrière elle, elle avait quelques chose de fabuleux ; malheureusement beaucoup de filles lui ressemblait, mais elle semblait unique a part entière. Je portais une tenue des plus sublimes, j’essaye d’être la plus élégante possible dans ma robe de grand couturier noir cintrée et assez sexy sans être vulgaire ; accompagné d’une paire de talons chanel. C’était sa, le luxe, la richesse, des vêtements hors de prix, une dégaine de princesse, un langage soutenue et une clique de personne derrière vous. Au alentour de deux heures voir trois heures du matin de retour à San Francisco, un bar attira mon attention, étrange d’apparence, à peine un pas franchi, mon regard se posa sur ce type mystérieux au fond de la salle, il était très beau, bien plus âgé que moi mais la dose d’alcool dans le sang me fit avancé vers lui. Ce que je n’aurais jamais osé faire en général se passa se soir, je le dragué ouvertement, sans prendre de gants, et contrairement à ce que je pensais il fut d’une politesse et d’une classe incroyable, il remarqua ma peine et mes larmes qu’il sécha […] Aujourd’hui nous étions la, tout les deux sur le banc malgré nos dix bonnes années de différence mon ami, mon soutien, sans aucun doute mon meilleur ami.

Je soutenais le regard qu’il me lançait affichant même un sourire à la prise de son café, il connaissait mes gouts et mes dégouts par cœur, et je souriais à chaque fois heureuse qu’il soit la.

« Merci » dit-je en avalant une gorgée « fait moi pensée à te rembourser un de ces jours »

Il avait aussi ce tact incroyable, je rougissais presque à ces compliments, ce qui à chaque fois le faisait sourire, je n’avais pas eu l’habitude d’entendre ce genre de chose mais c’était toujours un bonheur de l’entendre de sa part.

« je vais très bien merci et rassure toi t‘es pas mal non plus … enfin pour un vieux »

Je le taquiner, lui lançant un léger coup de coude ironique je repris

« Hum puisque tu le demande … ya un truc dont je voudrais te parler mais c’est genre le truc top secret … tu me dois le secret professionnel sur ce coup la … Noah Johanson sa te dit quelques choses »

Personne ne savait encore pour lui et moi mais avec Drew je n’avais aucun secret et Noah le savait.

Je ne savais même pas comment exprimer sa. Ce ne ressemblait pas au beau sentiment de l’amour que je percevais, même si ma vision de l’amour avait changé depuis mon arriver ici. L’amour avait changé, rien qu’a travers le cinéma, les dessins animée pour enfant n’était que des histoires futiles, Jeffrey était un écureuil qui avait vécu loin de sa famille abandonné par sa famille; seul et malheureux il avait perdu sa confiance et sa force de réalisé ses rêves. Sauf que sa famille ne l'a pas abandonné puisqu'un matin il la retrouva grâce à Lucie, un petit écureuil féminin et par la beauté d’un regard ils tombent amoureux. Pouah ! Ils n'en auront donc jamais assez de faire des dessins animés pour gamins où l'amour était vu comme un sentiment fataliste, qui vous tombez dessus comme un pot de fleur ? Ou un pot de peinture lorsqu'on passe sous une échelle ... Bref ! Je me demandais où était passé toute la beauté du sentiment en question, les préliminaires, la batailles constante pour prouver à la personne que l'on aime, qu'effectivement elle représente tout ce qui dans ce monde compte réellement pour nous. Il n'y avait rien de facile dans l'amour. Une fois que les premiers mois étaient passés, dans un éblouissement constant en compagnie de l'élu de notre cœur, il y avait le reste. Ou alors était ce seulement moi qui le voyait ainsi aujourd'hui ? Peut être que ce n'était pas une généralité, mais je sentais comme un poids qui pesait sur mes épaules, et je savais pertinemment que cela avait tout avoir avec la manière si stupide dont je m'étais comporté. Enfin ... Finalement, je l'enviais sérieusement ce petit écureuil, il suffisait qu'il pleure pour que tout le monde soit à son écoute. Il suffisait qu'il dise "Je t'aime" pour que tout soit oublié. Si ca pouvait être aussi simple dans la vraie vie ... si seulement deux mots pouvait tout changer.

Drew aurait su me comprendre, et il me comprit sans même que j’eu le temps de finir, il comprenait mon être, mes envies je me demandais parfois s’il n’était pas mon père.

« Oui, bien sûr, c'est un très bon ami à un ami qui m'est très cher. Est-ce que j'ai raison de suspecter de possibles sentiments plus chers que l'amitié pour ce jeune homme ? »
« Je euh … Commençons par le début je sors avec lui enfin je ne sais pas vraiment si sortir est le bon mot mais on est « ensemble » et je l’aime bien, il est très gentil, attentionné et assez doux enfaite »

Je laissais quelques secondes s’échapper guettant son visage

« J’ai peur de l’aimer un jour plus que bien, je sais qu’il ne veut pas s’engager mais, je ne veux pas tomber amoureuse et avoir mal mais je n’arrive pas à contrôler sa. »

Je ne savais pas ou j’allais mais ce n’était pas du tout une bonne chose.

Je soutenais le regard qu’il me lançait comme si je le connaissais déjà, je savais a peu prés ce qu’il dirais, les mots qu’il aller dire, pour me faire sourire. Drew était parfais dans son rôle d’ami, même pour le meilleur des amis. La vie n’était pas toujours simple, c’était un perpétuel défi, un combat nouveau chaque jour, et je l’avais compris, depuis mon arriver, je me battais pour réussir et aujourd’hui j’étais la. Il parait que Le courage est un trait de caractère qui désigne la capacité à surmonter la peur pour faire face à un danger. Le terme peut aussi être employé pour exprimer l'endurance, notamment à l'égard de la douleur. Le courage est à distinguer d'autres notions à connotations plus péjoratives, comme l'audace ou la témérité, pour lesquelles le moteur de l'action n'est pas la peur, mais le désir ou l'orgueil. Le courage a longtemps été considéré comme la principale vertu masculine. Le contraire du courage est la lâcheté. Je crois que d’une certaines manière je l’étais, assez forte mais en matière d’amour c’était beaucoup plus compliqué. Drew était brillant, intelligent, presque l’homme parfait, je le voyais ainsi comme un ange tombé du ciel pour veiller sur ma petite vie, j’avais l’impression qu’il sortait d’un de ces contes de fées pour petite fille ou il était le héros ; le soir ou je l’avais rencontré, s’il avait céder à mes avances, j’aurais pu tomber amoureuse peut être mais mon amour était porter vers Noah. L’objet de tous mes désirs.

- Et bien... C'est peut-être cela le problème. Tu ne peux, généralement, pas contrôler cela.

Je déposais ma tête sur son épaule, écoutant ses sages paroles.

« S'il ne veut pas s'engager avec toi, peut-être il faudrait arrêter les frais avant que vous vous brisez mutuellement le cœur. C'est merveilleux que tu te sentes bien avec lui et lui avec toi, mais s'il a peur de s'engager alors peut-être vous n'êtes pas fait pour être ensemble. Il marqua une pause. Si tu sais que tu ne pourras pas contrôler tes sentiments, il est peut-être plus judicieux d'instaurer des limites ou mettre au clair votre relation. »

Je savais qu’il avait raison et si j’avais peur je devais peut être partir, mais je refusais de la lâcher, j’étais trop heureuse avec lui pour vouloir m’en séparer.

« C'est aussi cela peut-être qui te perturbe. Essayez de savoir et vous mettre d'accord où tout cela va vous amener. A moins que vous ne voulez pas et préférez vivre cela pour le moment et vous souciez du reste quand ça vous tombera dessus. Dans tout les cas, ça sera difficile au départ, mais les relations humaines sont loin d'être aisées. »

Je plongeais mes yeux dans les sien, rien que de le voir me réconforter, j’étais heureuse qu’il soit la

« Tu a sans doute raison, mais je ne veux pas le laisser, je me sens bien avec lui et même si je dois souffrir je me rappellerais ses bons moments avec lui. Merci de ton soutien, je crois que je vais finir par t’épouser Drew Evans sa sera beaucoup plus simple, toi et moi deux solitaires et amoureux de la vie.

Je souriais, ironiquement bien sur. Je l’aimais mais comme un frère, un ami, ma famille.

« Tu mangerais un truc avec une vielle amie ?

« Je doute que je sois réellement un amoureux de la vie... Je vais me contentais de me dire que j'aime rendre heureux et soutenir mes proches. »

Aussi loin qu’elle s’en rappelle, il avait toujours été ainsi, protecteur envers ses amis comme sa famille. Drew pouvait être l’homme que bien des femmes recherchaient, Kate était parfois étonnée de ne pas voir une femme à son bras, qu’il soit célibataire, il avait tout simplement tout pour lui, un physique parfait, une intelligence et un caractère des plus intéressent, il pouvait être un dieu ou quelques choses dans ce genre la. Elle aurait pu en tomber amoureuse, si son amitié n’était pas des plus essentiels. Il avait parfois l’air tellement sur de lui et de ces choix que Kate se demander s’il ne voyait pas l’avenir ou quelques choses du genre. Kate ne voyait pas son avenir, elle savait qu’un jour elle arrêterait la musique dans le besoin de faire autre chose, petite elle voulait devenir médecin, c’était sa son rêve bien avant le musique, sauver des vies et aider les gens. Pouvoir entendre un merci d’une famille après avoir sauvé un enfant, mais elle avait fini par abandonner ce projet par simple peur d’échec. Elle se rappelait ce que la conseillère d’orientation lui avait dit au lycée « trouvez autre chose miss Matthews, vous n’avez pas l’âme d’un médecin », elle avait juste abandonné. Mais elle était heureuse avec la musique, c’était son second rêve et elle adorer sa. La médecine était désormais bien loin, alors peut être qu’un jour elle reviendra vers ce rêve mais pour le moment elle se contenter de vivre au jour le jour.

Son ventre cria famine, par un petit bruit qu’elle détester particulièrement. Elle avait toujours peur que cela lui arrive sur scène et que tout le public l’entende et qu’il se moque. Depuis son arrivé et son statut de chanteuse, elle faisait de drôle de rêve que jamais elle n’aurait pu imaginer. C’était toujours à lui qu’elle racontait se genre de petit détails totalement stupide. Elle ne fut pas étonnée par la réponse de son ami, il ajouté toujours une touche d’humour dans ses réponses.

« - Je ne suis pas sûr, est-ce qu'elle supporterais un vieux cynique qui se prend pour un psychologue ? »
« - Je pense pouvoir supporter sa, et au pire dès cas je partirais en courant et petit vieux que tu es ne me rattrapera pas.

Elle aimait le taquinait comme elle aimait cette complicité entre eux, peut importe l’âge ou les problèmes, elle savait qu’il serait la. Kate se leva du banc, le temps était devenue totalement parfait, un grand soleil brillait sur sa peau, elle aimait cette sensation. Son regard fit le tour du parc, s’arrêtant quelques secondes sur plusieurs personnes, une petite fille, les cheveux volant dans le vent, la liberté et le bonheur sur son visage. Une femme un peu étrange, un peau sombre et un visage triste, mélancolie et détresse et un adolescent perdu au milieu de tout ce beau monde, Kate comprit qu’elle avait de la chance d’avoir ce qu’elle avait.

« - Un truc italien ou un bon repas français.

Elle adorait la cuisine italienne, sa préfère mais la France c’était un pays qu’elle admirait totalement. De plus Kate était une grande gourmande, elle pouvait manger pendant des heures, des fraises au chocolat particulièrement. Elle fit quelques pas en compagnie de Drew sous le soleil de San Francisco.

« - Un coup de main pour marcher peut être ?

C’était bien sur ironique, une nouvelle taquinerie, rien de bien méchant mais elle aimer jouer avec lui. Elle lui lança un petit coup de coude, avec un jolie sourire.

« Dis donc mauvaise langue, je te rappel que je suis agent du FBI, si on ne sait pas courir on fait rarement long feu »
« - Oui monsieur l’agent

Dans le domaine du sport, Kate était plus que nul, elle détestait ça déjà, au lycée elle était le genre dernière de la classe, nul dans tout les domaines, elle n’avait pas le rythme pour tenir pendant plusieurs minutes à courir, elle n’était pas douée. Elle s’arrangerait toujours pour avoir un rendez vous pendant ces heures de sport, étant au souvenir de deux ou trois par semaine. Son professeur était un homme de 37 ans, grand sportif de haut niveau qui en attendait trop de la petite chose qu’elle était. Kate n’avait jamais été bien épaisse mais au lycée, elle était très mince, à la limite de l’anorexie. Elle n’avait pas été bien dans son corps et elle avait peur de ne pas être à la hauteur de toutes ces filles parfaite, son modèle était Pauline Savary, une belle italienne, les cheveux roux, des yeux à couper le souffle, Kate envier cette petite peste. Mais aujourd’hui bien que son gout pour le sport ne soit pas revenu, elle se trouvait plus jolie et bien dans son corps. Quand à Drew, rien à dire il était parfait.

« Comme tu veux, c'est toi qui a faim, moi je t'accompagne simplement dans ta démarche. Peut-être en fonction du restaurant le plus proche … Qui sera probablement italien, a moins que tu connaisses un restaurant français dans ce quartier. »
« - Ce n’est pas drôle si tu ne mange pas avec moi Evans elle suivit son regard derrière son dos, elle ne comprenait pas de suite ce qu’il cherchait Sache que quand tu t’appelle Kate Matthews tu obtiens tout ce que tu désire.

C’était la vérité, même si elle n’était pas le genre de pop star à profiter de tout les biens fait de la célébrité. Bien sur cela, elle s’en servait pas moment mais pas au moins d’être une nouvelle Lindsay Lohan. Depuis le début de sa nouvelle vie, elle avait murir, devenu un peu plus forte et grande, elle aimer être reconnue pour son travail, les photos dans les magasines, les interviews, les concerts elle adorer mais pas autant que composer ou que de voir les yeux d’une personne qu’elle aime briller suite à l’écoute de quelques mesures.

« - Il y a en un par là monsieur Evans.

La relation qu’elle avait nouée avec lui était merveilleuse, tel un grand frère, un réel amie, elle n’aurait pas penser que leur différence d’âge puisse engendrer, quelqu’un chose de si évident. Kate se laissa guider par ces gestes, c’était toujours agréable de le sentir prés d’elle.

« - T'as fini oui, sinon le petit vieux te laisse toute seule et repart chez lui lire son journal devant un de ses jeux télévisé préféré. »
« - Tu peux partir mais tu peux être sur de me trouver dans ton canapé avant que tu es franchi la porte.

Elle adorer ça, le voir rire après ces petites gamineries, parfois elle espérait trouver quelqu’un aussi formidable que lui dans sa vie future. Mais chose impossible, il n’y avait qu’un seul Drew Evans. Unique en son genre. Kate afficha un sourire après son petit geste affectif, a son tour elle déposa un baiser sur sa joue. Elle l’aimer, c’était inchangeable. Ils marchèrent dans la direction que Kate avait indiquer, bras dessus, bras dessous, comme deux amis de toujours.

« Alors racontes moi un peu, à part ton faux dilemme amoureux... Comment ça va au travaille et dans tes projets ? »
« - C’est vraiment génial, c’est tout ce que j’ai toujours voulu, j’ai rêver de sa pendant si longtemps que je crois encore parfois que je dormirais pour l’éternité. IL y a tellement de chose que j’aimerais encore faire que je ne sais plus ou donner de la tête … Et toi ? Le dernier criminel ? …. Rien que pour passer un moment avec toi en cellule je braquerais une banque.

AjoutA-t-elle avec humeur.