• • • Une petite dose de caractère
Lorsque vous rencontrez Alastrina pour la première fois, vous serez vite frappé par sa joie de vivre et son imperturbable sourire. Elle est pétillante et croque la vie à pleine dent, préférant vivre le moment présent sans se compliquer la vie avec les petits problèmes quotidiens. On remarquera bien souvent son air rêveur, mais aussi sa naïveté. Cette insouciance dont on a souvent profité. On a beau jouer d'elle, mais elle donne toujours sa confiance avec une facilité déconcertante. Cela peut être un grand défaut lorsqu'elle tombe sur des personnes qui ne le méritaient guère. La jeune demoiselle à tendance à toujours croire que tout le monde n'a que de bonnes intentions. Et à chaque fois que quelqu'un la brise, elle oublie. Elle a toujours oublié les moments pénibles de sa vie rien que pour être heureuse. C'est là son remède au bonheur. Elle est quelque peu idiote et elle le sait et elle devrait se méfier après tout ce qui lui est arrivé. Hélas, elle n'y arrive pas. C'est dans sa nature que d'êtres doux et si gentil avec tout le monde ! Elle est aussi une grande romantique et elle croit au grand amour et au prince charmant sur son cheval blanc. Sans les collants bien évidemment. Et pire encore, elle tombe facilement amoureuse pour un rien. En outre de tout cela, elle sait se montrer déterminée quand elle souhaite quelque chose et n'hésite pas à s'y accrocher jusqu'à arriver au but. La jeune demoiselle est aussi curieuse. C'est un vilain défaut certes, mais elle ne peut s'empêcher d'être au courant de tout. Et le pire c'est qu'elle peut être possessive avec les personnes qui lui son proche. Mais Alastrina reste tout de même terriblement attachante.


• • • Un physique qui déchire
Une jolie brune assez grande avec une silhouette plutôt fine. Certains se demandent parfois si elle est anorexique et pourtant c'est tout le contraire. Elle mange beaucoup de cochonnerie, mais cours tous les matins pour ne pas que les calories descendent sur ses cuisses non plus. Elle n'est pas la plus jolie ni la plus séduisante des femmes qui existe sur cette terre, n'empêche elle a du charme. Quant à ses cheveux, ils sont châtains, sa couleur naturelle et elle ne changent presque jamais de couleur préférant rester naturelle. Mais ce qui fait réellement le charme de la jeune Alastrina ce sont ses yeux. Un regard qui ne laisse personne indifférent et qui attire souvent des regards envieux. Elle a de sublimes yeux noisette et si vous regardez de plus près vous pourrez voir que ces iris sont entourés d'un cercle ambré Deux iris profonds que si on s'y laisse engouffrer, peuvent vous révéler les sentiments de la belle. Son style vestimentaire n'a rien de spécial pour s'y attarder. Elle a un look assez bohème; longues jupes, robes colorées, jeans, elle est assez unique dans son genre et elle se fait très facilement remarquée sans vraiment le vouloir à cause de cela, mais ça ne la gène pas outre mesure. Le tout est à la fois naturel, mais aussi extrêmement féminin.Comme quoi, dans la vie on n’en a pas toujours besoin de faire des tonnes pour donner aux autres une image « acceptable » de soi.



• • • Un conte de fée
•• allstoriesdonotstart with once upon a time.

Appelez-moi Alastrina. Ou Al et autres surnoms, c'est comme vous voulez. Mais si je ne me retourne pas, ne m'en tenais pas rigueur. Car si je devais me rappeler de tous les surnoms dont on m'a affublé, je ne m'en sortirais jamais. Il est écrit sur mon acte de naissance que je suis née au Royaume-Uni, dans une ville nommée Oxford, comme la marque de papeterie. C'était il y a vingt-trois ans de cela le dix-huit mai de l'an mille neuf cent quatre-vingt-six. Je me suis rendu compte que je n'avais pas été une enfant attendue. J'étais une erreur. Du moins, c'était là l'opinion de mon père, celui à qui je tentais toujours d'avoir ne serait-ce qu'un peu d'attention. Un regard affectueux. J'en demandai trop apparemment et j'aurai dû me suffit de tout l'amour que me donner ma mère et de l'amour sporadique de mon père. Mais comme tout enfant, je ne pouvais comprendre le pourquoi il m'ignorait autant. Un jour, il pouvait me sourire et même m'apprendre le soccer et le lendemain il changer du tout au tout. Oui, il aurait préféré avoir un garçon. Un petit bonhomme qui contrairement à moi, aurait aimé jouer au soccer. Non pas que je n'aimais guère ce sport favori des Anglais, mais il n'était plus à démordre – et ce, malgré mon jeune âge — que je portais une affection particulière pour la créativité et non à la stratégie. Et puis un jour, il n'était plus là. Je n'avais alors que cinq ans et il me manquait terriblement. Maman m'avait dit qu'il était en voyage d'affaires et qu'il rentrerait bientôt. Je l'attendais alors et faisaient des dessins pour passer le temps. Des dessins que je lui envoyai en même temps que les lettres que nous lui envoyaient maman et moi. Et d'ailleurs, il nous en envoyait aussi et nous parler des villes qu'il visitait. Et chaque Noël, je l'attendais en vain. Cela avait duré quatre années et un beau jour – je m'en souviendrai toujours de ce jour – j'avais enfin découvert la vérité. Je les avais toutes trouvées dans une boite que maman gardée sous son lit. Elles y étaient toutes et je n'avais même pas besoin d'explication pour comprendre. Celui à qui j'ai tenté maintes fois d'attirer l'attention était parti et plus jamais il ne reviendrait à la maison. Maman m'avait nourri d'espoir à chaque lettre qu'elle m'envoyait se faisant passer pour mon géniteur et je lui en ai voulu pour cela. Elle m'avait menti sans scrupule pendant des années et je ne savais ce qui me faisait le plus de mal. Savoir que mon père a fui ses responsabilités ou ma mère qui me l'a caché. Mais la vie suivait son cours et vivre sans présence paternelle ne m'étais pas si horrible que cela. J'avais appris à oublier et à l'oublier.

•• whatdoyoudo when it all falls apart ?

Je venais tout juste de déménager à San Francisco et la ville était tout simplement magnifique. À peine eu je posai les pieds dans cette ville que je l'adorai déjà. Les gens y étaient sympathiques et je m'étais vite fait des amis. Mais notre arrivée aux États-Unis n'était en rien le fait de vouloir changer d'air. Maman venait de se remarier avec un certain Sebastian Montgomery. Un riche industrielle qui vit à San Francisco. Rien qu'à son nom, on voyait déjà que c'était un de ses bougres friqués et je le détestais. En effet, c'était la une première de ne pas faire confiance a quelqu'un, mais je ne pouvais être autrement. Son air hautain ne me plaisait guère et je ne comprenais pas pourquoi il essayait toujours d'avoir mon affection. Il n'était en rien mon père et personne d'autre ne pourrait l'être. Nos conversations étaient courtes et rapides. Un simple bonjour le matin et je filais déjà au collège. Avec le mariage de ma mère, j'ai hérité d'un beau père, mais aussi d'un demi-frère, d'un an mon ainé. Il était tout ce qu'il y avait de sympathique et je m'étais vite attaché à lui, comme je le faisais avec tout le monde. Au fil des mois et des années, j'avais appris à le connaître et une amitié s'était tissée, voire bien plus. Mais je ne lui avais jamais rien dit. Même si on n’était pas lié par le sang, on était à présent de la même famille. Durant la même année, j'ai trouvé ma voie et je savais que ce serait cela que je ferai plus tard. J'étais une artiste dans l'âme et à travers mes dessins je pouvais enfin m'exprimer librement. Au lycée, j'étais plutôt une bonne élève et je ramenai souvent de bonnes notes à la maison. Mais je recevais toujours la même remarque de la part de mes professeurs. J'étais trop souvent la tète dans les nuages et cela ne les plaisaient guère. Pourtant, je suivais souvent les cours, mais à certains moments certains pouvaient être ennuyé et alors je m'évader dans ma rêverie.
À l'aube de mes dix-sept ans, j'étais tombée follement amoureuse d'un jeune homme. Il était mon prince charmant, celui qui me sauvera à chaque fois. On s'aimait et nous passions de délicieux moments ensemble. C'était tellement beau que je croirais rêver. Un rêve dont je ne voulais me réveillera. Mais le retour à la réalité fut un choc. Six mois plus tard, j'avais un ventre rebondi et il m'avait déjà quitté, préférant fuir ses responsabilités. Il m'avait d'ailleurs demandé d'avorter, mais j'avais refusé préférant garder l'enfant tandis que je le perdais, lui. Dans la rue, j'entendais les gens chuchoter. C'était la même chose au lycée. Mais je gardai la tête haute, déterminée à leur montrée que du haut de mes dix-sept ans, je serai capable d'élever cet enfant. Mais la vie en décida autrement et elle ne cessait de s'acharner sur moi. J'étais une proie facile pour celui qui tirer les ficelles et sans scrupule on m'avait enlevé ce petit être que je chérissais déjà. Je l'avais perdu lui aussi et de nouveau je sombrais, je tanguais dans cet abime.

•• thelifewe'reliving, it's all a masquerade.

Diplôme en poche, je m'envolai vers le continent Européen pour faire des études de Beaux Art à Florence en Italie. Depuis toute petite, je me passionné pour l'art et je me révélais même être assez douer dans ce domaine. Ce n'était donc pas étonnant de me voir suivre une carrière artistique. Et à présent, je pouvais enfin dévoiler ma vision du monde a tous. Les trois années universitaire passa rapidement et je devais de nouveau rentrer à San Francisco. Je m'étais attaché à cette ville et ne pas y retourner m'étais tout bonnement impossible. Ne voulant pas dépendre financièrement de mon beau-père, j'avais décidé de quitter la maison familiale pour me trouver un chez moi où je me sentirai bien. C'est une toute nouvelle vie qui débute pour elle. Un nouveau départ qui serait moins chaotique.

• • • Et pour terminer
Répond comme si ton personnage répondait et non toi !
Si j'étais un fruit, je serais une pèche.
Si j'étais une musique, je serais Over and over de Three Days Grace
Si j'étais un livre, je serais Wuthering Heights d'Emily Brontë
Si j'étais un plat, je serais Spaghetti Bolognaise
Si j'étais un dessert, je serais Fondant aux chocolat
Si j'étais un pays, je serais Rome
Si j'étais une fleur, je serais une rose
Si j'étais un animal, je serais un chat
Si j'étais une star, je serais Vincent Van Gogh
Si j'étais un personnage, je serais Anne Elliot de Persuasion (J. Austen)

Ton prénom :Stéphanie
Ton pseudo sur le net : Envy
Age :19 yo !
Comment tu nous as trouvés ? PRD
Qu'en penses-tu ? Je l'adore tout simplement et le nouveau design est sublime.
Qu'est ce qui t'a attiré sur ce forum ? Le fait que le forum se déroule à San Fransisco, parce que j'adore cette ville
Niveau en rp : j'arrive facilement à faire 500 mots. Après tout dépends de l'inspiration et de mon compagnon de rp.
Code du règlement : AEW vendredi-

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