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Quand je me mets à écrire | Ewan |
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 Kate E. Johanson
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 Sujet: Quand je me mets à écrire | Ewan Lun 11 Jan - 22:02 |
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12 septembre 2000
Le lycée W. Blake, en plein cœur du Texas, réputée pour sa joie de vivre et son niveau scolaire. C’est un des meilleures de la région. Un soleil éclatant briller dans le ciel, c’était le genre de journée ou la moitié des élèves séchée pour simplement aller s’amuser dehors mais pas aujourd’hui, pas après la rentré scolaire. Je n’étais qu’une adolescente, assez jolie, populaire et brillante d’après les dires de mes professeurs. C’était toujours agréable de savoir que l’on était apprécier, à l’époque la musiqua m’apparaissait comme un passe temps indispensable. C’était toujours aussi émouvant de rentrer ici. Un simple pied sur ce sol me faisait trembler dans tout mon être. Cette école c’était avant tout le rêve de quelques choses de nouveau. Oublié les problèmes de la vie quotidienne et simplement pensé à la joie. Un an avait passé depuis mon entré ici. Je regardais chaque regard autour de moi ; les nouveaux élèves, leurs émotions je les comprenais car moi aussi j’avais rêvé. Cette école était tout bonnement magnifique. Autant de l’extérieur que de l’intérieur. Elle regrouper les meilleurs étudiants du monde, des élèves passionnée n’ayant pas peur de rêver. Le lycée William Blake était prestigieux le travail est assidu et les notes sont à un niveau des plus élevés. Les élèves dépensent des milliers de dollars chaque année pour pouvoir payer leurs études car ici, nous attendons des élèves que le meilleur. Chaque année, nous voyons sortir de nos murs des futurs avocats, futurs notaires ou encore futurs écrivains. La renommée de notre école n'est plus à refaire. Ce discours chaque année la directrice le faisait ; mais elle aussi était parfaite dans son rôle, j’avais l’impression d’être au paradis quand je posé un pied ici. Je la connaissais par cœur, chaque porte, chaque mur et chaque recoin de l’école pour y avoir passé une année complète. J’avais d’ailleurs moi aussi ma photo sur un mur en tant qu’une des meilleurs élèves de première année. C’était immense, grandiose et magnifique. Les murs était en parfaite harmonie avec le sol. Tout s’accordait, aucun détail ne pouvait gâcher cela. Je grimpais les marches avec beaucoup moins de stress que l’an passé. J’avais retrouvé mon calme, en entrant je passais au tableau d’entrer y jetant de même un petit coup d’œil. Quelques messages de bienvenue ainsi que la liste de futures réunions. J’avais hâte ; j’étais impatiente et tout excitée.
Miss Halloway était professeur de langues étrangères, une femme brillante et très belle. Elle avait de long cheveux bruns frisées, couvrant son visage pale d’une touche de douceur, elle avait une silhouette parfaite, apprécier et très respectée. Aujourd’hui, elle portait un pantalon classique, coupe droite, noir probablement en velours, ce qui épousé parfaitement ses fines jambes, elle portait un chemisier blanc en soie, légèrement ouvert au niveau de sa poitrine ainsi qu’une veste noir ; et une paire de talon noir, j’admirais sa grande classe, debout dans la salle nous attendions sa permission pour s’assoir, une fois cela fait, elle nous salua de sa petite voix.
« Bonjour à tous … c’est un plaisir de vous retrouvez pour une nouvelle année, j’espère que ces vacances vous on permit de perfection vos langues et permis bien sur de vous amusez. En cette nouvelle année, une surprise vous attends, vous êtes la meilleure des trois classes de seconde année et pour cela chacun d’entre vous c’est vu attribuez un correspond dans une ville différentes de la notre, c’est un tirage totalement au sors. Des que je vous appelle, venez chercher votre enveloppe … Kate »
Je me levais heureuse de cette idée, à peine assise j’ouvrais l’enveloppe avec entrain, c’était un garçon, il s’appeler Ewan Parker. Il y avait une photo, son adresse et une première lettre, le soir même, je fonçais lui écrire, je me sentais assez heureuse de lui raconter toute ma vie, j’avais du écrire une bonne vingtaine de pages ; au fil des jours et des semaines nous avions appris à nous connaitre et je l’adorais avant même de le connaitre.
Janvier 2010
La pluie tombée sur San Francisco, abondamment, le temps était glacial. Je détestais ça, cette sensation de froid, glacial, c’était dur. J’avais passé la journée à ne rien faire, à simplement regarder un film, et manger de la glace, j’avais profité du calme pour écrire une nouvelle chanson, j’avais hâte de la faire écouter à mes patronnes, une histoire d’amour triste, sans du au manque de la présence de Noah, il me manquer vraiment, et sa façon involontaire d’envahir mes pensées me faisait peur. Dans un élan de mélancolie, je fonçais dans mon placard à souvenir, trouvant tout mes anciennes affaires du lycée y compris la tenue bleu des pom pom de la ville, c’était toujours étrange de retoucher ce tissu, et cette odeur, mais les photos me firent sourire. Puis une petite boite à chaussure, celle des lettres d’Ewan, elle restait ici, pour une raison inconnue, je me mis à écrire, juste un papier blanc, et un crayon, j’écrivais avec un peu plus de maturité qu’avant, mais toujours avec la même confiance qu’auparavant, quelques pages plus tard, je réaliser qu’il fallait sortir. Attrapant une veste que je superposer au dessus d’un jean et d’un top blanc. Il n’habitait pas si loin de chez moi, San Francisco est grand mais je connaissais chaque recoin de cette ville si cher à mon cœur. Lui dans le centre et moi au nord.
La pluie s’arrêta d’un seul coup, laissant le calme s’installer, je profitais pour sortir, arriver à moitié du chemin, la pluie se remit à tomber, fortement, encore plus fort que précédemment. En une seconde, ma vitesse doubla, je courrais le plus rapidement possiblement, jusqu'à chez lui, connaissant la route sur le bout des doigts. Je fus devant chez lui, complètement tremper, les cheveux plaquées sur le visage, le genre de tête que j’avais il ne fallait souhaiter, je fus heureuse de ne croiser aucun photographe. Il ouvrit, et je souriais bêtement.
« Hey … il y a dix ans, si j’étais nostalgique je t’aurais écris une longue lettre, sur mes exploits, alors pour ne pas changer je te l’ai écrite … sauf que pour une fois je te l’ai apporté en main propre … Alors voila ... »
Je sortis la lettre de ma poche, légèrement humide, lui tendant simplement.
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Kate E. Johanson
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| Sujet: Re: Quand je me mets à écrire | Ewan Dim 17 Jan - 17:36 |
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Kate détestait la pluie, plus qu’autre chose, elle trouvait ça laid, glaciale et tellement triste. Elle préférait le soleil du Texas, sa douceur et sa lumière. Mais San Francisco était merveilleux sous la lumière du jour. Mais Kate avait ce coté persévérante, elle trouvait toujours quoi faire quand l’ennuie la guettait. Elle avait passé la matinée au parc. Elle adorait cette endroit, sa verdure, son coté bonne enfant, tout ces sourires sur le visage des petits qui jouaient sans peine ; Elle scrutée avec attention chacun des habitants du parc, comme si elle cherchait une réponse à une question encore inconnue. Aujourd’hui, quelques choses allait se passer, important, elle serait folle de rage, elle le sentait mais pourquoi ? Ces derniers temps, tout sembler aller pour le mieux, elle essayer de faire sans Noah. Elle afficha un sourire sur son doux visage, se montrer plus clémente, et redevenait presque humaine dans sa manière d’agir. Enfaite tout aller Assise sur son banc, elle relaté les souvenirs, et ses envies. Elle n’avait rien mangé depuis deux jours, et elle se sentait étrangement calme et sereine.
Une femme s’approcha, a peine dix huit ans, elle souriait, semblant si heureuse, le bonheur se lisait sur son visage, elle était tout simplement étincelante, dans un élan de joie de vivre, elle discuta comme si Kate et son inconnue étaient de parfaite amie, elle s’appeler Katherine, jolie brune, au regard angélique, si douce mais de caractère, une femme forte et ambitieuse, le genre de jeune femme qui un jour apporterait beaucoup au monde, elle était si belle dans un rayon de soleil, Kate se dit que bien des têtes devait tourner pour elle. Elle était à l’apogée de ses rêves, selon ces dires, elle allait se marier, tout juste diplômer et majeur de sa promotion, elle ressenti une fierté pour cette grande enfant, à une époque, elle aussi avait gagner ce privilège faire le discours de la promotion « Or, nous sommes aujourd'hui a marée haute prenons le flot tant qu'il est favorable, je crois que cette citation veut dire que la vie est courte et que les vraies chances sont rares et qu'il ne faut donc ne jamais les laisser passer et je ne parle pas seulement des chances de réussir, il faut aussi saisir toutes les occasions de rie, de voir a quel point le monde est merveilleux et de vivre »
C’était tellement loin mais c’était un moment de sa vie, qu’elle avait partagé avec Ewan, tellement paniqué à l’époque, elle lui avait envoyé le discours, souhaitant son avis sinon rien n’irait. Plus elle y pensait, plus elle se disait qu’Ewan, avait fait beaucoup pour elle et que son amitié lui était presque vital. Elle avait promis à Ewan de le retrouver a San Francisco et quand elle croisa son regard ce jour la, elle se senti heureuse, l’amitié existait réellement. Aujourd’hui encore, le sourire d’Ewan la faisait elle aussi sourire.
▬ Woh mais rentres tu vas finir par être malade à rester dehors par un temps pareil. Je m'étais dis qu'il n'y avait qu'un fou pour venir chez moi avec ce temps et bien j'avais raison, je suis content - Ah tes lettres m'avait manqué miss Matthews.
Kate se glissa à l’intérieur de la maison d’Ewan, qu’elle connaissait par cœur, parfois elle se disait qu’elle passait plus de temps ici que chez elle. Elle alla s’assoir sur le canapé du salon, sans faire vraiment attention au fait qu’elle était totalement, trempée.
▬ Tu veux peut-être une serviette pour te sécher un peu ? Ah moins que tu ne veuille complètement mouiller mon canapé je comprendrais
Elle réalise qu’elle commençait à totalement noyé le pauvre canapé de son ami, elle se redressa d’un geste vif. Enlevant sa veste, qu’elle déposa sur un radiateur. Elle attrapa mal, puisqu’elle la reçue dans le visage. Elle partagea un moment de rire avec lui.
« Et sa te fait rire Parker »
Elle lui balança la serviette humide au visage. Petite vengange, qui cependant la faisait bien rire. En y repensant, elle était sans doute folle d’avoir arpentée la pluie pour venir ici, mais c est un acte qu’elle ne pouvait regretter tout comme ses lettres.
« Mais tu a raison, je suis folle … complètement, c’est au bout de 10 ans que tu t’en rends compte ? Mais tu va être obligé de m’écrire toi aussi, tu crois quoi. Ya pas qu’a toi que toutes ces histoires manque. J’avoue avoir évoluer, fini tout ces histoire d’amour d’adolescente, maintenant c’est d’histoire d’amour mais version 25 ans »
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Quand je me mets à écrire | Ewan |
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